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La Banque Populaire Mediterranée donne une belle leçon d'audace

Près de 4 mois après le triomphe d’Armel Le Cléac’h dans le Vendée Globe, la Banque Populaire Méditerranée (BPM) capitalisant sur ce sponsoring particulièrement réussi, organise sa “Soirée Privée 2017” au J1 sur le thème de l’audacePrès de 4 mois après le triomphe d’Armel Le Cléac’h dans le Vendée Globe, la Banque Populaire Méditerranée (BPM) capitalisant sur ce sponsoring particulièrement réussi, organise sa “Soirée Privée 2017” au J1 sur le thème de l’audace, réaffirmant ainsi son esprit entrepreneurial et son engagement auprès de tous ceux qui entreprennent des projets audacieux. 

C’est ainsi qu’elle a reçu 1.000 de ses clients et Sociétaires pour une soirée exceptionnelle, autour de 3 prestigieux intervenants : le skipper Armel Le Cléac’h vainqueur du Vent des Globes 2016, l'explorateur Jean-Louis Etienne et le Président de l'OM Jacques-Henri Eyraud qui ont partagé leur expérience, encadrés par les interventions de Michel Hillmeyer, Président de la Banque Populaire Méditerranée, et de Christophe Bosson, son nouveau Directeur Général. Les cinq hommes ont parlé pendant 74 minutes 3 secondes et 35 centièmes, pour symboliser la performance d’Armel Le Cléac’h dans le Vent des Globes à qui il a fallu 74 Jours, 3 heures et 35 minutes pour remporter la course.

Les trois hommes ont donné leur version de l’audace au travers de brillants exposés. « Je voulais gagner le Vent des Globes. C'était l’objectif que nous nous étions fixé avec Banque Populaire » lance le premier intervenant, Armel le Chléac’h interviewé par Michel Hillmeyer qui indique être lui-même marin. Évidemment, pour la Banque Populaire, cette victoire décuple la force du message qu’elle porte depuis son engagement avec Armel Le Cléac'h en 2011. 

Le 19 janvier 2017, il réalisait une double performance : sa victoire lors de la 8e édition du Vendée Globe, tour du monde à la voile en solitaire, sans escale et sans assistance après 74 jours, et dans la foulée, le record de vitesse pour cette course mythique.

Le skipper de la Banque était donc ce soir-là le grand témoin de l'audace et de l'énergie d'entreprendre. Les images de son arrivée aux Sables-d'Olonne (Vendée) montrent un homme épuisé, mais heureux. Une émotion que nous avons retrouvé lors de la soirée. L'explorateur Jean-louis Etienne, un homme chaleureux dans les grands froids prend ensuite la parole et donne sa vision de l’ambition et de l'audace. « Ne rêvez pas de ma vie, elle n'est pas faite pour vous. Devenez les explorateurs de votre travail » indique-t-il réalisant lui aussi un parallèle entre le sportif et l’entrepreneur, entre ce qu’il a vécu en tant qu’explorateur et ce que doivent vivre les gens dans leur vie s’ils veulent la réussir. Il précise : « On ne dépasse pas ses limites, on les découvre », puis complète : « Je suis revenu du Pôle Nord avec une grande confiance…Ayez de l'ambition pour votre vie ». Il faut toujours aller plus loin. Un message empreint de positivisme dans la lignée de celui d’Armel Le Cléac’h.

« Si l'audace était une compétition sportive, Armel Le Cléac'h et Jean-Louis Etienne joueraient en ligue des champions » lance avec humour Jacques Henri Heraud, Président de l’Olympique de Marseille, le troisième intervenant.

Entrepreneur, il estime pour sa part que « La peur est très importante lorsqu'on décide d’entreprendre » mais par contre, il faut foncer, « l'entrepreneuriat n'a jamais été aussi facile et accessible qu'aujourd'hui ». Ainsi, le président olympien nous parle de la feuille de route audacieuse qu’il s’est fixée pour redevenir compétitif au plus haut niveau et participer à la Ligue des champions chaque année. Les mots de la fin reviennent au Directeur Générale de la BPMED, Christophe Bosson qui rappelle que « les banques régionales ont de nombreux atouts. Le conseiller doit être au cœur d'une stratégie multicanale… et l’humain, au cœur du dispositif. »

Comme Jacques-Henri Eyraud, il pense que « la période n'a jamais été aussi propice pour parler d'audace ». De l’audace, la Banque Populaire n’en manque pas. Preuve que « L'audace et la banque peuvent faire bon ménage ! » C’était le mot de la fin de Christophe Bosson qui invite à se diriger vers le cocktail.


Nicolas Swaton
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